jeudi 3 janvier 2008

Tremblements

La nuit qui suivie fut tout autant émouvante…qu’angoissante. La chaleur de sa main encore dans la mienne, sa mèche de cheveux châtains tombant sur son front, son regard tendre mais mystérieux, nos deux corps allongés côte à côte, son étreinte tremblante ; je me souviens de chaque détail. Hésitant, entre le silence et l’affluence des questions qui se bousculaient dans ma tête, je choisis de me taire. Pour une fois j’étais capable de vivre l’instant présent, de prendre conscience de ce morceau de vie.
Mes yeux n’avaient pas cessé de l’observer, mon regard n’avait pas cessé de plonger dans le sien - c’est dans ces moments là que l’on se sent souvent un peu bête, yeux rivés, regard fixe, impossible de prononcer un seul mot. Les nuits suivantes furent empreintes d’une complicité naturelle, pourtant j’ignorais presque tout de cette personne qui en si peu de temps avait su toucher mon âme. Elle était belle, et elle avait choisi de se reposer près de moi. J’étais chanceuse.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

J'adore...

A quand le roman ?

Anonyme a dit…

BONJOUR ! Tu m'as oublie n'est-ce pas ???? Joli texte ! Tu es ecrivain ? BISES !!!!!!!! J-D

Anonyme a dit…

Je suis comme cke tami ds profil.Bises ! J-D

Anonyme a dit…

Oui ct moi ms je ne cpa comment cela marche donc gmi en anonyme ms ds le texte , a la fin , g signe :-) . J'espere que tu vas bien;Ok pour mail ms en France , gpa ordi.Je t'ecris d'un cyber-cafe now.Gros bisous ! J-D